La guerre, mais bio

Loin de moi l’idée de m’occuper de politique. Je ne m’intéresse qu’à la planète.

S’il faut faire la guerre, cela ne me regarde pas. La guerre, après tout, c’est de tuer des gens. Les gens, que ce soit eux, vous ou moi, une fois morts  sont entièrement biogrédables: c’est bon pour la planète.

Mais

la manière de nous tuer doit faire l’objet d’une analyse de l’impact sur l’environnement.

Prenons un char d’assaut: même d’occasion, son fonctionnement émet beaucoup de gaz à effet de serre, ses munitions sont très gourmandes en énergie. Nous pourrions les équiper d’un pédalier et lancer des pierres locales sur les populations locales.

Les drones, qui pouvaient un temps sembler une astucieuse solution, s’avèrent, comme les chars, très gourmands en terres rares et en énergie. Remplaçons les par des cerfs-volants.

A y réfléchir

un très grand nombre de solutions à l’impact environnemental des guerres se trouverait dans une approche différente. Il existe dans tous les pays des décideurs politiques, gens très capables, sachant l’extrême complexité des problèmes modernes qui nous échappent, acculés à déclarer la guerre aux uns ou aux autres. Laissons-les faire comme nous l’avons toujours fait.

Mais

que ces décideurs très capables fassent ces guerres entre eux, qu’ils ou elles se battent à mains nues jusqu’à ce que mort s’ensuive et que le meilleur gagne!

La planète y trouverait largement son compte et, eux autres et nous autres, feront pousser des pommes de terre et des bons légumes, pour nourrir tout le monde, (solution difficile pour le dos).

Cette solution est trop complexe pour venir à l’esprit de nos si intelligents décideurs, mais nous pouvons la mettre en oeuvre sans eux.

CHAIRAC ANON

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